Sondage Sauvez notre Lac / Survey Save our Lake 

(français ci-dessous)

(Fanhca apologizes that the following general comments were accidentally omitted from our post yesterday.)

Nathalie Meunier: The zebra mussels situation we are facing is serious and was inevitable, given the lack of control over part of the lake users, who are either not aware or unwilling to thoroughly wash their boats and devices before coming into the lake.

I assume that residents of all the municipalities concerned are meticulous about this to protect our drinking water, but there are unfortunately many new residents, and some of them may not be as well informed about the potential dangers of a quick infestation due to the lake’s high acidity levels. Many of them don’t get the newsletters.

The solution I see to solve the issue for the long term is a concerted effort of all municipalities surrounding the lake which should focus on:

  • Designing and implementing a comprehensive communication campaign to reach the residents of all surrounding municipalities. This initiative could be lead by Bleu Massawippi, who possess the expertise to explain the situation in laymen terms, and municipalities should work hand in hand with them.
  • Forming an inter-municipal committee that includes a representative of Bleu Massawippi and of the MRC to agree on a plan and budget for communication initiatives and to hire a patrol for the lake and implement a system (daily sticker or electronic application) that attests that any boat or water device including kayaks and SUPs have been thoroughly washed.
    The patrol officer should have the authority to hand out hefty fines to visitors who don’t have a proof of having washed their boat on that day.
  • Asking the Environment Ministry for an emergency budget to finance the communication campaign and implementation of the daily washing control system.
  • Holding all residents accountable for making sure that their guests go to a washing station before entering the lake from their land.
  • Despite the concept of water needing to be accessible to all, we need to be realistic about the fact that not everyone wants to go through the pains of washing their devices, and that non-residents don’t have the same incentive to do so as we do to protect our water.

    I think we have no other choice but to block all public access to the water to those who haven’t washed their device or boat before putting it into the lake and can show proof of it.

Many people complained about wearing seatbelt in cars in the 70’s. Now we are all used to it and agree on the benefits of doing so.

If we want clean drinking water for ourselves and the generations that will follow, washing our boats and devices should become second nature in the preparation routine for all those who enjoy a lake, here and elsewhere.

In my opinion, it’s just common sense.

(This comment was received following publication yesterday. This post is now closed)

Sophie Brasiola: On October 24 I expressed myself on FANHCA regarding the preservation of the Massawippi lake which is our most beautiful attraction. In order to do that, we must collaborate on multiple levels (Bleu Massawippi, the government of Quebec and the other municipalities) and implement rigorous rules but also ensure that they are respected.

Our municipality must act with leadership and set the tone. For example, if we want more electric boats, why not having electric terminals and attract people who share common values. Finally, I believe Bleu Massawippi do an incredible job at educating people on the preservation of the lake and the impact of doing so, however I think that as a municipality we must be responsible and act as a change agent, educate and inform our population.  

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(Fanhca s’excuse que les commentaires généraux suivants aient été accidentellement omis de notre post d’hier).

Nathalie Meunier : La situation des moules zébrées est sérieuse et était inévitable, du au manque de contrôle de certains des utilisateurs du lac, qui sont soit non informés ou n’ont pas envie de laver soigneusement leur embarcation ou planches avant d’aller dans le lac.

J’assume que les résidents de toutes les municipalités bordant le lac respectent l’exigence de laver leur embarcation pour protéger notre eau potable, mais il y a malheureusement un grand nombre de nouveaux résidents, et certains pourraient ne pas être bien informés du danger potentiel d’une infestation rapide à cause du taux élevé d’acidité de l’eau du lac Massawippi.

La solution que j’entrevoie pour régler le problème à long terme passe par un effort concerté de toutes les municipalités bordant le lac, qui concentreraient les efforts sur :

  • Élaborer et déployer une campagne de communication majeure pour rejoindre tous les résidents de toutes les municipalités. Bleu Massawippi pourrait être chargé de cette mission car l’organisme possède l’expertise nécessaire pour bien vulgariser la situation, et les municipalités devraient travailler en étroite collaboration avec eux.
  • Former un comité intermunicipal qui inclue un représentant de Bleu Massawippi et de la MRC pour convenir d’un plan et d’un budget pour embaucher un patrouilleur pour le lac et mettre en place un système de contrôle quotidien (autocollant ou application électronique) qui atteste que chaque bateau, kayak, SUP, etc. a été soigneusement lavé ce jour-là.
    Ce patrouilleur devrait avoir le pouvoir de donner des contraventions élevées aux visiteurs du lac sans preuve qu’ils ont fait laver leur embarcation le jour-même.
  • Présenter une demande au ministère de l’Environnement pour un budget d’urgence qui financerait la campagne de communication et l’implantation du système de contrôle.
  • Tenir tous les résidents responsables de veiller à ce que leurs visiteurs se rendent à une station de lavage avant d’entrer dans le lac à partir de leur terrain.
  • Malgré le concept très louable de l’eau qui devrait être accessible à tous, il faut agir de façon réaliste face au fait qu’il existe des gens qui n’ont pas envie de s’astreindre à laver leur embarcation, et que les non-résidents n’ont pas le même impératif que nous de faire attention à l’eau du lac.
    Je crois que nous n’avons d’autre choix que de bloquer tout accès public au lac à ceux qui n’ont pas de preuve qu’ils ont fait laver leur embarcation le jour-même.

Plusieurs gens se sont plaints de l’obligation de porter une ceinture de sécurité en voiture dans les années 70. Maintenant, nous y sommes habitués et sommes d’accord sur les bienfaits de cette pratique.

Si nous voulons continuer d’avoir une eau potable pour cette génération et les suivantes, laver nos embarcations devra devenir un geste naturel dans la routine de préparation pour tous ceux qui profitent d’un lac, ici ou ailleurs.

À mon avis, c’est du « gros bon sens ».

(Ce commentaire a été reçu après la publication d’hier. Ce poste est maintenant fermé)

Sophie Brasiola : Tel que j’ai exprimé le 24 Octobre sur le site de FANHCA, le lac Massawippi étant notre plus beau attrait, nous devons en préserver sa santé. Pour ce faire nous devons collaborer à différents niveaux (Bleu Massawippi, gouvernement du Québec, les municipalités entourant le lac)) afin de mettre en place des mesures rigoureuses, mais surtout en assurer l’application et le respect.

Notre municipalité doit agir avec leadership et montrer la voie à suivre. Par exemple, si nous favorisons les embarcations électriques, nous devons implanter des bornes électriques afin d’attirer les plaisanciers qui partagent nos valeurs. En terminant, Bleu Massawippi fait un excellent travail d’éducation auprès de la population, mais en tant que municipalité nous devons nous responsabiliser et faire notre part dans cette éducation et information à la population.